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Introduction
Les problèmes d’humidité touchent aussi bien les maisons individuelles que les appartements en location. Quand des murs humides, moisissures ou odeurs de renfermé apparaissent, une question cruciale se pose : qui doit payer les réparations, le locataire ou le propriétaire ?
La réponse dépend de la cause de l’humidité et des responsabilités définies par la loi. Décryptons ensemble cette situation fréquente dans le monde locatif.
1. Que dit la loi sur l’humidité dans un logement loué ?
Selon la loi française, un propriétaire doit fournir au locataire un logement décent, c’est-à-dire :
- Propre et en bon état d’usage.
- Ne présentant aucun risque pour la santé.
- Avec une aération suffisante et des matériaux ne laissant pas apparaître d’humidité excessive.
👉 Si l’humidité rend le logement insalubre, le propriétaire peut être tenu responsable.
2. Quand le propriétaire est responsable ?
Le propriétaire doit prendre en charge les réparations si l’humidité est due à :
- Remontées capillaires : défaut structurel des fondations.
- Infiltrations : toiture ou façades défectueuses.
- Isolation ou ventilation insuffisante : logement mal conçu.
👉 Ces problèmes relèvent de l’entretien et de la mise en conformité du logement.
3. Quand le locataire est responsable ?
Le locataire doit assumer les conséquences si l’humidité résulte d’un mauvais usage du logement :
- Absence d’aération régulière.
- Séchage excessif du linge à l’intérieur.
- Non-utilisation des systèmes de ventilation.
- Accumulation de condensation liée aux habitudes de vie.
👉 Dans ce cas, les réparations ou nettoyages peuvent lui être imputés.
4. Comment déterminer la cause de l’humidité ?
Un diagnostic est souvent nécessaire pour identifier l’origine exacte :
- Condensation → souvent liée aux habitudes de vie (responsabilité du locataire).
- Infiltrations → toiture, murs ou façades défectueuses (responsabilité du propriétaire).
- Remontées capillaires → problème structurel (responsabilité du propriétaire).
📌 Un expert peut intervenir pour trancher en cas de litige.
5. Quelles solutions pour régler le problème ?
a) Les solutions temporaires
- Aération quotidienne par le locataire.
- Utilisation ponctuelle d’un déshumidificateur.
b) Les solutions définitives pour le propriétaire
Si la cause est structurelle, des travaux ou des appareils adaptés sont nécessaires.
👉 Avec Humidistop, les propriétaires disposent de solutions simples et durables :
- ATE (électromagnétique) : agit par champ électromagnétique pour stopper les remontées capillaires.
- ATG (géomagnétique) : exploite le champ magnétique terrestre, sans électricité.
✔️ Avantages :
- Installation rapide.
- Aucun travaux lourds.
- Assèchement progressif et définitif des murs.
6. Comment éviter les litiges entre locataire et propriétaire ?
- Réaliser un état des lieux précis à l’entrée du locataire.
- Entretenir régulièrement les systèmes de ventilation.
- Signaler tout signe d’humidité dès son apparition.
- Mettre en place des solutions de traitement durables si la cause est structurelle.
Conclusion
Dans un logement locatif, la responsabilité face à l’humidité dépend de son origine.
👉 Le propriétaire doit garantir un logement sain et assumer les défauts structurels (remontées capillaires, infiltrations).
👉 Le locataire doit, lui, veiller à bien aérer et utiliser correctement les équipements.
Avec les solutions ATE et ATG d’Humidistop, les propriétaires peuvent traiter l’humidité à la source, éviter des litiges coûteux et offrir à leurs locataires un logement sain et confortable.
